Sébastien Dewaest était l’invité de Vincenzo Ciuro lors du premier Grand Débrief de la cuvée 2020. L’occasion de revenir sur la situation de Genk, qui tente de se reconstruire après le départ de Felice Mazzù. Genk, Felice Mazzu, les PO1, le Soulier d’or : Sebastien Dewaest n’a évité aucun sujet.

La victoire de Genk à Zulte
« On a vu pas mal de bonnes choses. Contrairement à la première partie de saison, tout le monde travaillait les uns pour les autres. C’est ça qui a fait la différence. »

La course aux PO1
« Ça serait un échec de ne pas être dans le top 6. Nous sommes champions en titre et l’effectif est de grande qualité. C’est serré, il faudra avoir beaucoup de points. Je suis content que nous affrontions des concurrents directs car ça nous permet de creuser l’écart. »

Le brassard de capitaine
« Il n’a jamais été trop lourd à porter même s’il implique beaucoup de responsabilités. J’ai reçu beaucoup de critiques mais je préfère les prendre plutôt qu’elles s’abattent sur mes coéquipiers. Elles étaient justifiées mais certaines étaient exagérées même si c’est vrai que je ne suis pas au même niveau que l’an dernier. »

Felice Mazzu
« Je n’étais pas d’accord avec certains de ses choix mais il n’y a jamais eu de soucis entre nous. On a eu des discussions d’hommes. Je n’ai plus de contact avec lui. Son licenciement m’a fait mal au cœur car c’est l’entraîneur qui m’a fait débuter en D1. Le problème n’était pas linguistique car son anglais était correct. Pour réussir, il aurait dû garder le même style de jeu qu’il prônait avec Charleroi mais à Genk, on souhaite du beau jeu. »

Le Soulier d’or
« J’aurais aimé que ça soit Mbokani qui le remporte pour qu’il y ait du changement. Vanakan est le joueur le plus décisif depuis le début de la saison mais il n’est pas le plus beau à voir. »

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